lundi 26 janvier 2015

Et si...

Et si nous essayions la bienveillance, la fraternité, la solidarité et... la justice?

"Nos doutes sont des traîtres, et nous privent de ce que nous pourrions souvent gagner de bon, parce que nous avons peur d'essayer."

William Shakespeare.


Source photo: Google Images

8 commentaires:

  1. Si on y ajoute la justice, c'est encore mieux. Mi bémol

    RépondreSupprimer
  2. Exact Mi bémol. Je vais donc corriger et revoir ma copie. :+)
    http://monde.blogs.la-croix.com/larcheveque-de-cantorbery-et-lislam-2/2015/01/24/

    RépondreSupprimer
  3. "Le parti pris pour les pauvres" n'est pas le rejet des riches. Mais une condition indispensable pour que cette catégorie, de la trilogie biblique, ne soit pas oubliée, puisque la tendance naturelle est de s'occuper des plus riches, des plus sachants, des plus savants etc.;
    Par ailleurs dans l'évangile, le Christ nous rappelle que des pauvres il y en aura toujours. Ce n'est pas une fatalité mais une raison de plus pour s'attacher à les faire sortir de leur misères.
    C'est là aussi la mission des différents organismes de solidarité : ils sont la petite lampe témoin qui signale le problème et tente des petites solutions en invitant les riches, notamment les Etats, à faire leur part. Ils détiennent d'autres moyens que les militants ne peuvent obtenir malgré leur savoir-faire, leur audace, leur dévouement. Mi bémol

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Mi bémol. Je suis en train de lire "François parmi les loups" du journaliste italien Marco Politi aux éditions Philippe Rey. Et on y retrouve ce que vous venez de m'écrire. J'ai aimé la phrase suivante de Jorge Mario Bergolio trouvée au début de ce livre: "L'Eglise n'est pas faite pour contrôler le gens mais pour les accompagner là où ils sont."

      Supprimer
  4. Pb de l'heure seul l'administrateur peut le résoudre. 15 h54. Il y ale pb de l'écriture HTML puisque je n'arrive pas à traduire le code du "bémol" ♭
    J'apprécie l'ouverture de ce pape des périphéries et des hôpitaux de campagne, même s'il ne lâche rien sur l'essentiel, tout ce qui peut être remis en cause il le favorise et il tient compte de la fragilité humaine qui a été rachetée et qu'il ne faut donc pas condamner à tout prix.
    Cordialement

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le livre que je lis sur lui permet de mieux le comprendre. Je savais pour avoir vu un ou deux films argentins que ce pays connait une grande violence. Le livre le confirme. Pour l'instant en ce qui me concerne ce qu'il dit me convient et je suis intéressé par ce pape atypique. Mais parfois je me dis que comme l'hirondelle ne fait pas le printemps un pape ne fait pas le renouveau de l'Eglise. Mais c'est sans doute un autre débat. Je lui souhaite longue vie. Sincèrement.

      Supprimer