Ce sont des femmes et des hommes qui font la politique donc « Partout où
il y a des hommes il y a de l’hommerie ». (Saint François de Salles)
Marine Le Pen fera des voix mais peut-être pas autant que nous le pensons.
François Fillon fera des voix mais peut-être pas autant que nous le pensons.
Le candidat écologique ne fera pas beaucoup de voix. L’électorat
écologiste va se diviser, une partie va aller vers Mélanchon, l’autre
partie vers Macron.
S’il n’y a pas de candidat centriste il est possible que l’électorat centriste aille vers Macron.
Manuel Valls ferat-il un bon score? Ou connaîtra-t-il le sort d’Hillary Clinton, de Nicolas Sarkozy, d’Alain
Juppé, de Mattéo Renzi?
Une partie de l’électorat socialiste va aller vers Mélanchon et une autre partie vers Macron.
Mélanchon fera des voix mais peut-être pas autant que nous pensons.
L’extrême gauche ne fera pas beaucoup de voix.
Comment se fera la majorité qui gouvernera notre pays ensuite? Qui peut m’aider à y voir clair?
Dernier remarque et non la moindre, les médias peuvent dire, écrire,
montrer ce qu’ils veulent, les électeurs font ce qu’ils veulent ensuite
dans l’isoloir. Et ils se déterminent sans doute en fonction de ce
qu’ils vivent dans leur quotidien.
Je suis grand-père. Je fais partie des nantis.
Je n'ai pas envie de casser la baraque.
En 1989 la chute du communisme nous a été présentée comme la fin de l’Histoire, le triomphe du bien sur le mal, la victoire de la démocratie, la promesse d’un avenir radieux dans la prospérité, la paix et le bien-être. En fait très vite nous sommes passés de la fin de la guerre froide à la guerre chaude.
La multiplication des conflits dans lesquels nous sommes désormais engagés coûtent à mon avis bien plus chers que les fonctionnaires et les immigrés. Ils ont bon dos et sont les nouveaux boucs émissaires des temps modernes.
Désormais nul ne sait vraiment de quoi sera fait notre futur.
Probablement d’imprévus sur le plan intérieur et extérieur.
Si je considère que le progrès est une bonne chose en soi je m’interroge souvent sur l’usage qui en est fait. Et sur l’usage qui pourrait en être fait à l’avenir.
Je n’ai pas peur du futur mais je le sens tendu et imprévisible. J’aimerais qu’il soit plus apaisé qu’actuellement.